ECRIVONS ENSEMBLE UNE NOUVELLE PAGE D’HISTOIRE DE L’EXPERIENTIEL®
Faire prendre aujourd'hui à la France
le virage des compétences humaines pour viser
3 impacts majeurs
1. Répondre aux enjeux de retard et de sous-performance du système éducatif
2. Soutenir la compétitivité des entreprises par des savoir-être performants
3. Développer l’inclusion et le bien-être mental, physique et social de tous dans le “futur du travail”
Pour prendre ce virage, il est nécessaire d’organiser une nouvelle filière de formation, qui adopte massivement le standard international pédagogique le plus reconnu pour acquérir efficacement ces compétences dites “soft” : l’Expérientiel
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NOTRE AMBITION
2025 - 2027 : Fonder l’organisme national de référence
2023 - 2024 : Créer une communauté de professionnels
L'ENJEU DU CAPITAL HUMAIN
75%
de la réussite professionnelle
à long terme dépend des soft skills et 25% des hard skills (1)
75 Mds €
de croissance potentielle
Le retard d'investissement sur les « soft skills » représente une perte de 3% du PIB sur 15 ans, soit 75 milliards d'euros (3)
+23%
de la performance économique
L'investissement dans le développement des soft skills améliore de 23% la performance d'une organisation (2)
8/10
des compétences du "future du travail"
sont des soft skills : créativité, sens critique, leadership, gestion du stress... au coeur de l'employabilité à l'heure de l'Intelligence Artificielle (4)
(1) Standard Research Institute, 2022 / (2) Etude Deschplande et Munshi, 2020 / (3) Conseil d'Analyses Economiques, 2022 / (4) World Economic Forum, 2022
LE MANIFESTE INEX
Le Conseil d’Analyses Économiques évalue à 75 milliards d’euros le manque à gagner en 15 ans du fait d’un “sévère retard de la France” dans le développement des compétences humaines ou soft skills. L’enjeu ne concerne pas seulement la formation initiale et continue, de la petite enfance à la formation des dirigeants, mais aussi le bien-être mental, physique et social, l’employabilité et la réduction des inégalités, l’éducation environnementale ou l’innovation et la transformation des organisations et donc la productivité. Il est fondamental d’investir dans le capital humain à la hauteur de ce défi.
La solution est connue dans les pays en tête des classements mondiaux : compléter l’enseignement traditionnel par le modèle pédagogique Expérientiel®, adaptation moderne des pédagogies actives : du concret vers l’abstrait, des activités souvent hors les murs, des problèmes à résoudre ayant une valeur de métaphore de la vie réelle, sous-tendues par un processus d’apprentissage très précis conditionnant 70%des résultats. Comme la Commission européenne ou l’OCDE, plusieurs rapports au gouvernement recommandent des “démarches expérientielles.”
Nous demandons aux pouvoirs publics de soutenir l’Initiative pour le développement humain par l’Expérientiel (INEX) portée par les précurseurs de ce courant pédagogique : réunir la communauté des enseignants, éducateurs et formateurs volontaires, puis créer, à l’instar d’autres pays, un organisme national de référence. Son but sera la formation et la certification des professionnels, l’accréditation des établissements respectant les standards pédagogiques, l’encouragement et la reconnaissance des innovations, le partage des ressources et la recherche sur l’impact. INEX permettra à cette communauté d’optimiser les programmes et dispositifs existants : Éducation Non-Formelle en dehors de la salle de cours, le Service National Universel (SNU), le développement des compétences psychosociales (CPS), la transformation de la voie professionnelle, les actions de formation en situation de travail (AFEST), la performance économique, etc.
Ce centre d’excellence aura, à l’ère du numérique et des formations hybrides, un impact démultiplié en s’appuyant sur les innovations de l’EdTech.
Le temps n’est plus aux diagnostics, aux référentiels et aux études mais aux solutions déjà éprouvées fondées sur des données probantes. Une telle innovation exige de la transversalité, de la coopération, un sens du bien commun et surtout un esprit de suite. Nous ne savons pas quels seront les métiers du futur,mais nous connaissons les compétences humaines qu’ils solliciteront. Ce serait une faute stratégique
de laisser au hasard leur développement.